Pour faire suite au billet concernant les joies de l'internet (disponible quelquepart ici), je suis allez rendre visite en fin de journée à mon cousin. J'étais à Montréal donc pas d'excuses pour ne pas aller voir un membre de sa famille à l'hôpital.
Ainsi j'arriva donc à sa chambre, pas trop sûr. Je m'approche du premier lit. C'est pas lui. Approche le second. Le voilà.
Il dormait. Bon, prévisible mais que faire. Le réveillez? Nah, c'est cruel quand ont est hospitaliser et qu'ont a besoin de repos. Bon j'ai rien de mieux à faire je me dis alors je vais m'asseoir et attendre son réveil.
Sentant une présence, sans doute, il ouvra légèrement un oeil, puis les deux et me lança avec un grand sourire:
«Ouin! De la grande visite! Qu'est-ce tu fais icite!?»
Près de 2 heures à jaser de tout et de rien, prendre des nouvelles, en donner. Ont s'était vu cet été mais de façon brève et non «seul à seul».
Évidemment j'ai questionné à savoir ce qui c'était passé.
Lorsque nous étions jeunes nous étions excessivement proche l'un de l'autre. Régulièrement nous jouions ensemble, n'habitant qu'à 2 rues l'un de l'autre. Mon cousin était réellement mon meilleur ami plus jeune, malgré quelques disputes mais qui n'en a jamais?
Le temps nous à éloigné l'un de l'autre mais nous demeurions quand même présent, dans les réunions de famille.
Y a réellement été chanceux, un vrai miraculé.
Ça m'aurait crissement fait chier que ça tourne autrement. Crissement. Pas parce que c'est un membre de ma famille. Non. C'est aussi un bon ami.
Ainsi j'arriva donc à sa chambre, pas trop sûr. Je m'approche du premier lit. C'est pas lui. Approche le second. Le voilà.
Il dormait. Bon, prévisible mais que faire. Le réveillez? Nah, c'est cruel quand ont est hospitaliser et qu'ont a besoin de repos. Bon j'ai rien de mieux à faire je me dis alors je vais m'asseoir et attendre son réveil.
Sentant une présence, sans doute, il ouvra légèrement un oeil, puis les deux et me lança avec un grand sourire:
«Ouin! De la grande visite! Qu'est-ce tu fais icite!?»
Près de 2 heures à jaser de tout et de rien, prendre des nouvelles, en donner. Ont s'était vu cet été mais de façon brève et non «seul à seul».
Évidemment j'ai questionné à savoir ce qui c'était passé.
Lorsque nous étions jeunes nous étions excessivement proche l'un de l'autre. Régulièrement nous jouions ensemble, n'habitant qu'à 2 rues l'un de l'autre. Mon cousin était réellement mon meilleur ami plus jeune, malgré quelques disputes mais qui n'en a jamais?
Le temps nous à éloigné l'un de l'autre mais nous demeurions quand même présent, dans les réunions de famille.
Y a réellement été chanceux, un vrai miraculé.
Ça m'aurait crissement fait chier que ça tourne autrement. Crissement. Pas parce que c'est un membre de ma famille. Non. C'est aussi un bon ami.
1 commentaire:
Y'as un ange qui veille sur lui, sa pas d'bon sens..
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