Cette semaine je fais partenariat avec Paul Larocque.
Oui oui Paul Larocque...
Non, pas ce Paul Larocque là, l'autre Paul Larocque.
Même si ce n'est pas le Paul Larocque de TVA, il est un ancien journaliste. Il à oeuvré comme recherchiste à La Presse Canadienne dans les années 1970.
Ainsi donc, un ex-journaliste/recherchiste et un ex-étudiant en Comm en équipe pour une semaine, de quoi ça parle d'après-vous?
Après avoir échangé nos recettes de tartes aux pommes, intrigué je commença à l'interroger sur ses expériences en tant que journaliste. Bon après avoir lu mon introduction à ce billet, nous voilà parti sur le sujet des tartes aux pommes. Bon continuons.
Donc, à force de discuter du métier j'en vînt qu'à me questionner. Que serais-je devenu si j'avais continuer? Après 2 ans de CÉGEP, 3 ans d'université je sortirai à peine avec mon diplôme en journalisme. Je ne conduirai certainement pas des camions. J'ignore ce que je serais devenu.
Une meilleure personne?
Je me questionna surtout sur quel type de chronique je tiendrais...
Journaliste culturel? J'ai étudié en cinéma (avec un volet en communication...) au cégep et c'est pas pour rien. Je suis un mordu de films (bien que je manque cruellement de tant pour aller au cinéma), de littératures, de musique, de théâtre (oui oui, j'ai joué dans 3 pièces et mis en scène l'Avare de Molière...), bref des arts en général. Peut-être exception faite des arts visuel comme la peinture. Décidément, je me serai bien vu en tant que journaliste culturel, couvrir les spectacles, les galas, interviewer les artistes. Faire des entrevues en profondeur avec ceux-ci, les questionner sur leurs textes de chansons, le sens qu'ils ont donné à leur film, etc. Mais la plupart des journalistes couvrant ce domaine sont gay et moi, décidément j'aime vraiment trop les femmes. Beaucoup trop.
Journaliste sportif? Ouais môsieur, ça c'est des affaires de mâles! Couvrir les matchs d'hockey, le football, les courses automobiles. Côtoyer les pitounes dans les Grands Prix de F1, sentir l'odeur de mâle qui règne dans la chambre du CH après un match de série éliminatoire. Écouter les conférences de presses des «coachs» après leurs matchs, les «planter» royalement le lendemain dans la «Une». Et finalement finir comme «Has-been» à 110% comme Réjean Tremblay.
Journaliste politique? Couvrir la scène politique fédérale ou provincial, être dans les coulisses du pouvoir en tant que tel. Vivre les grands moments décisionnel de notre société, rencontrer le Premier Ministre régulièrement, le côtoyer. Obtenir les «scoops», suivre les élections du début à la fin. Tenter d'influencer le public, non INFORMEZ le public (c'est mieux dit) sur les enjeux de notre pays. Et finir comme alcoolique et un no life dans un bar miteux d'Ottawa en écoutant les autres raconté l'époque de Trudeau.
Journaliste touristique? Parcourir le monde, aux frais des agences de voyages. Découvrir les continents, les tribus primitives de l'Amazonie, les 7 merveilles du monde, rencontrer des gens et s'imprégner de leurs cutlures. Être en vacance 365 jours par année, sans dépenser un seul sou ou presque. Coucher à droite et à gauche pour justement s'imprègner de la culture locale et finir par attraper le sida.
Journaliste judiciaire/fait divers? Encore une fois, quelquechose pour les vrais hommes. Voir du sang, des morts, côtoyer les criminels qui nous font frémir simplement en lisant leurs noms. Discuter avec les policiers, obtenir les scoops, faire de grandes enquêtes pour mettre à jour des scandales, des magouilles ou encore de grands réseaux de trafiquant mafieux. Et finir comme «has been» à la télévision avec une télésérie à notre image, cigarette à la bouche.
Journaliste scientifique? Faire de grands articles, avec des mots savants tout en tentant de vulgariser le sujet. Être invité à de grands banquets, couvrir les recherches et les développements sur les grandes maladies de ce monde tel que le sida et le cancer, être au courant des toutes dernières percées scientifiques. Recevoir un prix nobel, un pullitzer et être ainsi connu à travers le monde entier. Finir sa vie seule, avec pour seule activité intime une boîte de kleenex et un magasine qui n'a rien de scientifique bien qu'anatomique.
Ouin, finalement je fais bien de continuer à chauffer des trucks...
Oui oui Paul Larocque...
Non, pas ce Paul Larocque là, l'autre Paul Larocque.
Même si ce n'est pas le Paul Larocque de TVA, il est un ancien journaliste. Il à oeuvré comme recherchiste à La Presse Canadienne dans les années 1970.
Ainsi donc, un ex-journaliste/recherchiste et un ex-étudiant en Comm en équipe pour une semaine, de quoi ça parle d'après-vous?
Après avoir échangé nos recettes de tartes aux pommes, intrigué je commença à l'interroger sur ses expériences en tant que journaliste. Bon après avoir lu mon introduction à ce billet, nous voilà parti sur le sujet des tartes aux pommes. Bon continuons.
Donc, à force de discuter du métier j'en vînt qu'à me questionner. Que serais-je devenu si j'avais continuer? Après 2 ans de CÉGEP, 3 ans d'université je sortirai à peine avec mon diplôme en journalisme. Je ne conduirai certainement pas des camions. J'ignore ce que je serais devenu.
Une meilleure personne?
Je me questionna surtout sur quel type de chronique je tiendrais...
Journaliste culturel? J'ai étudié en cinéma (avec un volet en communication...) au cégep et c'est pas pour rien. Je suis un mordu de films (bien que je manque cruellement de tant pour aller au cinéma), de littératures, de musique, de théâtre (oui oui, j'ai joué dans 3 pièces et mis en scène l'Avare de Molière...), bref des arts en général. Peut-être exception faite des arts visuel comme la peinture. Décidément, je me serai bien vu en tant que journaliste culturel, couvrir les spectacles, les galas, interviewer les artistes. Faire des entrevues en profondeur avec ceux-ci, les questionner sur leurs textes de chansons, le sens qu'ils ont donné à leur film, etc. Mais la plupart des journalistes couvrant ce domaine sont gay et moi, décidément j'aime vraiment trop les femmes. Beaucoup trop.
Journaliste sportif? Ouais môsieur, ça c'est des affaires de mâles! Couvrir les matchs d'hockey, le football, les courses automobiles. Côtoyer les pitounes dans les Grands Prix de F1, sentir l'odeur de mâle qui règne dans la chambre du CH après un match de série éliminatoire. Écouter les conférences de presses des «coachs» après leurs matchs, les «planter» royalement le lendemain dans la «Une». Et finalement finir comme «Has-been» à 110% comme Réjean Tremblay.
Journaliste politique? Couvrir la scène politique fédérale ou provincial, être dans les coulisses du pouvoir en tant que tel. Vivre les grands moments décisionnel de notre société, rencontrer le Premier Ministre régulièrement, le côtoyer. Obtenir les «scoops», suivre les élections du début à la fin. Tenter d'influencer le public, non INFORMEZ le public (c'est mieux dit) sur les enjeux de notre pays. Et finir comme alcoolique et un no life dans un bar miteux d'Ottawa en écoutant les autres raconté l'époque de Trudeau.
Journaliste touristique? Parcourir le monde, aux frais des agences de voyages. Découvrir les continents, les tribus primitives de l'Amazonie, les 7 merveilles du monde, rencontrer des gens et s'imprégner de leurs cutlures. Être en vacance 365 jours par année, sans dépenser un seul sou ou presque. Coucher à droite et à gauche pour justement s'imprègner de la culture locale et finir par attraper le sida.
Journaliste judiciaire/fait divers? Encore une fois, quelquechose pour les vrais hommes. Voir du sang, des morts, côtoyer les criminels qui nous font frémir simplement en lisant leurs noms. Discuter avec les policiers, obtenir les scoops, faire de grandes enquêtes pour mettre à jour des scandales, des magouilles ou encore de grands réseaux de trafiquant mafieux. Et finir comme «has been» à la télévision avec une télésérie à notre image, cigarette à la bouche.
Journaliste scientifique? Faire de grands articles, avec des mots savants tout en tentant de vulgariser le sujet. Être invité à de grands banquets, couvrir les recherches et les développements sur les grandes maladies de ce monde tel que le sida et le cancer, être au courant des toutes dernières percées scientifiques. Recevoir un prix nobel, un pullitzer et être ainsi connu à travers le monde entier. Finir sa vie seule, avec pour seule activité intime une boîte de kleenex et un magasine qui n'a rien de scientifique bien qu'anatomique.
Ouin, finalement je fais bien de continuer à chauffer des trucks...
4 commentaires:
Tabouère Boubou, sert les cordes! Et fait toi jouer La Compagnie Créole...
Ton billet respire la dépression.
Hey c'était TRÈS sarcastique.. je faisais de l'humour! J'y reviens plus tard, je suis a Montreal je viens de sortir du stade olympiques et j'attends que l'hre passe pour aller au Yulblog... Onirique ma menace... J'ai peur.. :D:D:D
Pis ta carrière de trucker, tu vas la finir comment? Héhéhé, pas facile de sortir une réponse sarcastique sur celle-là, hein?!
Hahaha t'es trop fort! :D:D:D
Enregistrer un commentaire