Pendant notre formation en conduite économique, ont se promenait dans les Laurentides dans le coin de St-Adèle, Ste-Agathe et toutes ces places là que je connaissais pas l'existence.
Le but était de nous amener dans les pires côtes afin de pouvoir les «gimper» de façon adéquate et économique.
Une d'elle est situé directement après une courbe qui faut prendre à un maximum de 50 km/h. J'ignore le pourcentage, mais à 80 000lbs «grossweight» elle prend «au coeur» comme ont dit.
Sylvain, un des chauffeurs avec moi, s'attaque à la fameuse côte. Manque sa vitesse, incapable de se «trouver un trou» il arrête dans la côte.
Patrick prend le volant par après, ont revire de bord et refait le même trajet. Idem.
Viens mon tour. Je vire le coin de rue de la fameuse côte, prend le plus de vitesse possible, me prépare mentalement, concentré... La courbe... Gaz au fond... Enlève la demi-vitesse, laisse «torquer» le camion, descend d'une vitesse, saute une vitesse, j'arrive presque en haut, 1300 rpm et ça descend pendant que la côte elle continue de monter. Puis soudain, *BANG*. Arrêt complet
Boubou: «Osti de tabarnackkk»
Paul (formateur): «Hahaha tu y étais presque, ça fait chier hen?»
Boubou: «Paul, si cette côte là a pas de nom, je la baptise la côte de l'orgueil batard!»
Paul: «HAHAHAHA la côte de l'orgueil c'est bon ma le retenir!»
Donc, amis transwestien, dans votre formation en conduite économique si Paul vous parles de la côte de l'orgueil vous savez c'est qui qui la baptisé ainsi!
Le but était de nous amener dans les pires côtes afin de pouvoir les «gimper» de façon adéquate et économique.
Une d'elle est situé directement après une courbe qui faut prendre à un maximum de 50 km/h. J'ignore le pourcentage, mais à 80 000lbs «grossweight» elle prend «au coeur» comme ont dit.
Sylvain, un des chauffeurs avec moi, s'attaque à la fameuse côte. Manque sa vitesse, incapable de se «trouver un trou» il arrête dans la côte.
Patrick prend le volant par après, ont revire de bord et refait le même trajet. Idem.
Viens mon tour. Je vire le coin de rue de la fameuse côte, prend le plus de vitesse possible, me prépare mentalement, concentré... La courbe... Gaz au fond... Enlève la demi-vitesse, laisse «torquer» le camion, descend d'une vitesse, saute une vitesse, j'arrive presque en haut, 1300 rpm et ça descend pendant que la côte elle continue de monter. Puis soudain, *BANG*. Arrêt complet
Boubou: «Osti de tabarnackkk»
Paul (formateur): «Hahaha tu y étais presque, ça fait chier hen?»
Boubou: «Paul, si cette côte là a pas de nom, je la baptise la côte de l'orgueil batard!»
Paul: «HAHAHAHA la côte de l'orgueil c'est bon ma le retenir!»
Donc, amis transwestien, dans votre formation en conduite économique si Paul vous parles de la côte de l'orgueil vous savez c'est qui qui la baptisé ainsi!
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4 commentaires:
Est-ce que Paul vous a donné le truc pour la dompter cette foutue côte?
Oui il nous la montré mais disons que tu passes très proche de la «caller» pareil, elle est assez technique et ont descend très bas dans les rapports (ont défait environ 10 vitesses sur 13)
Ben là! C'est pas pour faire ma frais chier, mais un peu quand même puisque c'est la côte de l'orgueil, je l'ai eu du premier coup. Mais je dois avouer que j'avais la chienne avec Paul et les 2 autres qui attendaient que je me plante! ;c)
Frais chier...
:D:D:D
Mais le problème de cette côte là, si je peux dire «problème» c'Est que tu ose pas swigner à cause de la courbe assez prononcé sinon ça irait déjà mieux.
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